Alx est un artiste plasticien qui vit et travaille actuellement à Toulouse.
S’il se définit volontiers comme un «bidouilleur» qui s’adonne aussi bien à la programmation Pure Data qu’à la mécanique, la sculpture ou à des expérimentations phoniques improbables, c’est pourtant avec précision et exigence qu’il mène depuis plusieurs années, des recherches dans le champ de la création sonore.
Formé à l’Ecole des Beaux-Arts de Pau puis d’Aix-en-Provence, sa curiosité et son travail sont aujourd’hui guidés par les perspectives ouvertes par l’inter connectivité des nouveaux médias et le besoin profond de réfléchir sur l’interaction entre l’homme, l’espace et la machine.
Fortement marqué par les expériences des maîtres de la musiqueélectroacoustique (John Cage, Pierre Henry, Michel Chion), les installations de Basile Robert ou le travail du Collectif APO 33, il revendique un art en perpétuelle mutation: le son est pour lui une matière vivante, qui nécessite d’être modelée et travaillée dans l’espace et peut être combinée à des volumes, des mouvements ou des couleurs pour créer un dispositif unique qui amène chacun à redéfinir son rapport à la perception et au réel.
Entendre la couleur, penser l’espace et la relation à l’autre, autant d’expériences qui propulsent le visiteur, le temps d’une installation, dans un univers ludique, troublant ou hallucinatoire: un parcours synesthésique et initiatique.
Attentif à l’effervescence la scène artistique actuelle, il ne s’interdit aucun médium et nourri son processus créatif d’échanges avec d’autres artistes ou d’autres disciplines comme sur le projet Performance Ka mis en place en résidence avec le collectif Rue Piétonne et présenté à l’espace Bonnefoy en 2014.Alx est un artiste plasticien qui vit et travaille actuellement à Toulouse.
S’il se définit volontiers comme un «bidouilleur» qui s’adonne aussi bien à la programmation Pure Data qu’à la mécanique, la sculpture ou à des expérimentations phoniques improbables, c’est pourtant avec précision et exigence qu’il mène depuis plusieurs années, des recherches dans le champ de la création sonore.
Formé à l’Ecole des Beaux-Arts de Pau puis d’Aix-en-Provence, sa curiosité et son travail sont aujourd’hui guidés par les perspectives ouvertes par l’inter connectivité des nouveaux médias et le besoin profond de réfléchir sur l’interaction entre l’homme, l’espace et la machine.
Fortement marqué par les expériences des maîtres de la musiqueélectroacoustique (John Cage, Pierre Henry, Michel Chion), les installations de Basile Robert ou le travail du Collectif APO 33, il revendique un art en perpétuelle mutation: le son est pour lui une matière vivante, qui nécessite d’être modelée et travaillée dans l’espace et peut être combinée à des volumes, des mouvements ou des couleurs pour créer un dispositif unique qui amène chacun à redéfinir son rapport à la perception et au réel.
Entendre la couleur, penser l’espace et la relation à l’autre, autant d’expériences qui propulsent le visiteur, le temps d’une installation, dans un univers ludique, troublant ou hallucinatoire: un parcours synesthésique et initiatique.
Attentif à l’effervescence la scène artistique actuelle, il ne s’interdit aucun médium et nourri son processus créatif d’échanges avec d’autres artistes ou d’autres disciplines comme sur le projet Performance Ka mis en place en résidence avec le collectif Rue Piétonne et présenté à l’espace Bonnefoy en 2014.
S’il se définit volontiers comme un «bidouilleur» qui s’adonne aussi bien à la programmation Pure Data qu’à la mécanique, la sculpture ou à des expérimentations phoniques improbables, c’est pourtant avec précision et exigence qu’il mène depuis plusieurs années, des recherches dans le champ de la création sonore.
Formé à l’Ecole des Beaux-Arts de Pau puis d’Aix-en-Provence, sa curiosité et son travail sont aujourd’hui guidés par les perspectives ouvertes par l’inter connectivité des nouveaux médias et le besoin profond de réfléchir sur l’interaction entre l’homme, l’espace et la machine.
Fortement marqué par les expériences des maîtres de la musiqueélectroacoustique (John Cage, Pierre Henry, Michel Chion), les installations de Basile Robert ou le travail du Collectif APO 33, il revendique un art en perpétuelle mutation: le son est pour lui une matière vivante, qui nécessite d’être modelée et travaillée dans l’espace et peut être combinée à des volumes, des mouvements ou des couleurs pour créer un dispositif unique qui amène chacun à redéfinir son rapport à la perception et au réel.
Entendre la couleur, penser l’espace et la relation à l’autre, autant d’expériences qui propulsent le visiteur, le temps d’une installation, dans un univers ludique, troublant ou hallucinatoire: un parcours synesthésique et initiatique.
Attentif à l’effervescence la scène artistique actuelle, il ne s’interdit aucun médium et nourri son processus créatif d’échanges avec d’autres artistes ou d’autres disciplines comme sur le projet Performance Ka mis en place en résidence avec le collectif Rue Piétonne et présenté à l’espace Bonnefoy en 2014.Alx est un artiste plasticien qui vit et travaille actuellement à Toulouse.
S’il se définit volontiers comme un «bidouilleur» qui s’adonne aussi bien à la programmation Pure Data qu’à la mécanique, la sculpture ou à des expérimentations phoniques improbables, c’est pourtant avec précision et exigence qu’il mène depuis plusieurs années, des recherches dans le champ de la création sonore.
Formé à l’Ecole des Beaux-Arts de Pau puis d’Aix-en-Provence, sa curiosité et son travail sont aujourd’hui guidés par les perspectives ouvertes par l’inter connectivité des nouveaux médias et le besoin profond de réfléchir sur l’interaction entre l’homme, l’espace et la machine.
Fortement marqué par les expériences des maîtres de la musiqueélectroacoustique (John Cage, Pierre Henry, Michel Chion), les installations de Basile Robert ou le travail du Collectif APO 33, il revendique un art en perpétuelle mutation: le son est pour lui une matière vivante, qui nécessite d’être modelée et travaillée dans l’espace et peut être combinée à des volumes, des mouvements ou des couleurs pour créer un dispositif unique qui amène chacun à redéfinir son rapport à la perception et au réel.
Entendre la couleur, penser l’espace et la relation à l’autre, autant d’expériences qui propulsent le visiteur, le temps d’une installation, dans un univers ludique, troublant ou hallucinatoire: un parcours synesthésique et initiatique.
Attentif à l’effervescence la scène artistique actuelle, il ne s’interdit aucun médium et nourri son processus créatif d’échanges avec d’autres artistes ou d’autres disciplines comme sur le projet Performance Ka mis en place en résidence avec le collectif Rue Piétonne et présenté à l’espace Bonnefoy en 2014.
Partition pour huit relais
//Acro._glitch//
Sérigraphies
Format 50x32.5 cm
ΛBƧƬЯΛᄃƬ_ƧΣЯIGЯΛPΉIΣƧ_G.
Serigraphies 50x65
Papier 200gr
Cartographie Parallèle
Gestuelle auditive
Dispositif sonore interactif
Quelques mots d'Alex sur le dispositif
" Au-delà de l’aspect sonore, j’ai été très vite fasciné par l’ensemble des codes et des questionnements sous-tendus par la culture Gwoka :
Forte communication entre danse et musique, entre sonorités et mise en mouvement du corps. Le danseur dans son improvisation, crée aussi la musique, et engage le tambourinaire soliste ( makè ) à s'adapter à son souffle, ses pas.
" A l'heure du règne du smartphone, il m’a paru intéressant de détourner cette outils pratique afin d’en faire un instrument de création artistique autour du lien danse/musique. Les capteurs de mouvement intégrés au smartphone ont fait naître l’idée de donner une voix au mouvement."
" Au-delà de l’aspect sonore, j’ai été très vite fasciné par l’ensemble des codes et des questionnements sous-tendus par la culture Gwoka :
Forte communication entre danse et musique, entre sonorités et mise en mouvement du corps. Le danseur dans son improvisation, crée aussi la musique, et engage le tambourinaire soliste ( makè ) à s'adapter à son souffle, ses pas.
" A l'heure du règne du smartphone, il m’a paru intéressant de détourner cette outils pratique afin d’en faire un instrument de création artistique autour du lien danse/musique. Les capteurs de mouvement intégrés au smartphone ont fait naître l’idée de donner une voix au mouvement."